MAXIMILIEN
DAUBER
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« En cet automne où Lucien Bodard, dans son livre Les Grandes Murailles, trace un formidable tableau de la Chine, je vous en recommande un autre, en images cette fois, qui vous laissera tout aussi pantois.
Il s’agit d’une vision de la Chine, faite de grandeur et d’émotion, par un cinéaste belge, Maximilien Dauber, aussi romantique qu’aventureux.
Dauber est un explorateur de frontières, de confins lointains, de lisières de l’âme. Il fuit tout ce qui est ordinaire.
Ce n’est pas un guide, c’est un rêveur éveillé. Et voici le rêve, sur l’écran, qui devient réalité : dans les sables du Turkestan, Chine barbare, surgit d’une tempête de neige la dernière caravane de la soie.
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ROUTES DE CHINE
90 minutes
Sous prétexte qu’on rentre de Chine, il faudrait tout en dire et tout en montrer. Ce pays, hier encore fermé, aujourd’hui replié, toujours fascine.
De nos jours, tout un chacun dépoussière sa Chine. D’aucuns ramassent ce qu’ils ont vu, lu, entendu et surtout imaginé à son sujet.
Des images, des odeurs, des rencontres enfouies au fond des mémoires. Nous vous proposons les nôtres...en toute modestie, il s’entend.
Sur les routes de la soie, du fer et l’eau. Une Chine vue partiellement, partialement sans doute.
Des bribes d’images qu’il faut lire comme une chronique, comme les notes d’un carnet de voyage.
Des chameaux et des chevaux par centaines, des petits hommes aux yeux bridés emmitouflés de fourrures passent comme des fantômes à travers un brouillard blanc.
C’est prodigieux ».
Jean Raspail - Le Figaro
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« La Chine, magnifique long métrage signé Max Dauber (…) Un reportage pertinent et risqué, une fois n’est pas coutume (…) ».
Philippe Vecchi - Libération